À 2 jours du premier tour de l’élection présidentielle, la tension est palpable chez les dix candidats. Notamment au Front de gauche, où Jean-Luc Mélenchon s’est dit « un peu anxieux » face à l’enjeu.
Porté par un capital sympathie en hausse et des sondages ou il fait jeu égal avec Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon s’est dit « un peu anxieux » ce vendredi lors d’une conférence de presse avec la presse étrangère au siège de campagne des Lilas (Seine-Saint-Denis). Il a tout de même assuré « avoir bon espoir » de réaliser un bon score et de dépasser la candidate du Front national. Vindicatif, le leader du Front de gauche s’en est pris à la classe politique française, affirmant être « écoeuré par les campagnes de calomnie contre lui ». « Tout le petit monde politique français a intérêt à remettre en selle Mme Le Pen », a-t-il affirmé.